Escrime :
L’escrime dans ses différentes disciplines mobilise de nombreuses fonctions de l’organisme : mobilité, coordination, réflexe, vitesse, équilibre…
Véritable étape dans le parcours thérapeutique, les ateliers d’escrime s’adressent aux femmes et aux hommes dès l’avis favorable du médecin.
Pourquoi l’escrime ?
– La pratiquante est pleinement protégée avec une tenue complète (masque et bustier)
– La position de garde en elle-même est une position d’ouverture au niveau du buste et des épaules
– Il n’y a pas d’opposition, seulement un travail avec le maître d’armes, donc pas de coup porté
– Le sabre. Le choix de l’arme pour ces ateliers n’est pas anodin. En effet, avec ses parades hautes et ses gestes amples, il sollicite une réelle mobilité du
bras et du buste, ce qui permet de travailler les adhérences sans même s’en rendre compte
– Des séances hebdomadaires pour lutter contre l’isolement
– Un « adversaire » masqué et un langage spécifique qui peut faire écho avec la maladie « parer, riposter, se battre, faire reculer ».